J'ai toujours eu un faible pour les écossais. Je trouve un homme en jupe très sexy. Vous avez sans doute vu cette pub pour un Scotch whisky ou une tribu d'écossais remonte leur kilts pour faire la nique à des néo zeelandais.... Je n'en n'avais jamais parlé à Firan, et voici que soudain aujourd'hui alors que nous faisions la suite de notre shopping commencé il y a quelques semaines, il m'annonce qu'il a aussi fait des frais pour sa nouvelle garde robe. Et voici ce qu'il me montre:
et puis ça aussi...
mon sang ne fit qu'un tour. Je lui demandai bien vite de remettre son kilt, et lui propose d'aller visiter
JAPAN TEMPURA, un des endroits préférés de
Suraya.
Dès l'arrivée, nous traversons la foret d'automne, et je l'emmène dans l'arbre creux. Là je me jette sur lui et je le couvre de bisous
Nous nous
câlinons tendrement sur les peaux de bêtes , faute de mieux, car la cache n'est pas équipée exactement des boules que je cherche. Dès lors je lui propose de lui montrer le reste de l'île.
Nous passons par la corniche aux roses, et grâce à lui j'ai l'occasion d'expérimenter les boules qui se trouvent ça et là. Je découvre des animations extraordinaires, pleines de vies, d'émotion, de naturel. Elle provoque en moi des vagues d'émotions, et mélangée à mon excitation de savoir mon bout d'homme en kilt, mon petit abricot commence à revendiquer ses caresses légitimes.
le coucher de soleil superbe, ne gâche rien. Je me sens fleur et
j'attends l'abeille qui va venir patiemment profiter de mon miel.
Firan fougueux me prend par la taille et m'embrasse.
Je lui rend son baiser et accroche mes jambes autour de sa taille. Son kilt ne peux cacher la bosse dure qui se frotte contre ma vulve déjà humide.
Il est temps que je lui fasse découvrir la grotte secrète renfermant un lieu délicieux qui me permettra d'arriver à mes fins. A peine rentré dans celle-ci, je n'en puis plus, et je me jette sur
Firan. Avant même qu'il aie pu se rendre compte de ce qui lui arrivait, j'étais nue au dessus de lui, réclamant avidement sa queue aux
tréfonds de moi.
Cette fois pas de doute possible, c'est bien moi qui le baise. Je le prend en moi et règle la cadence.
Pour son plaisir, j'ai pris soin de conserver les chaussures qu'il
rêvait que je porte et que nous avions acheté ce soir.
La sensation très excitante de son gland se frottant contre mon clitoris avant de replonger au fond de mon vagin
achève de me mettre hors de moi et me mène petit à petit aux portes de l'orgasme.
Dès lors il prend la situation en main, me retourne et pilonne ma chatte sans ménagement.
Firan devenu piston de
chair tout entier, me démonte le ventre. Je vois des étincelles partout à chaque
assaut.
Je pouvais venir la sans aucun
problème avec mon beau
mâle en chaleur
arc bouté sur moi. Mais je demandai à
Firan de me prendre par derrière. Je souhaitais qu'il me sodomise pour l'apothéose. Il introduisit sa queue au fond de mon anus et continua son office. La chaleur se diffusait entre mes fesses, et la pression de son membre à l'intérieur de mon ventre déclencha un orgasme violent bientôt suivi des giclées de
Firan au fond de mon cul.
Comblée, je restai allongée sur son torse,
mêlant nos langues dans de langoureux baisers.
Au diable la soumise de maître Firan. Aujourd'hui, j'étais SA maîtresse.