Je ne suis plus rentrée à la maison depuis longtemps. Mon maître est pourtant très doux, et il était très heureux de me voir rentrer après de longues semaines d'absence.
Je le trouvai plus séduisant encore qu'avant, en chemise noire avec une simple cravate. L'austérité, et le sérieux de ses vêtements me remplissait de fierté de lui appartenir, tout en me sentant confuse de le délaisser à ce point, même si souvent cela est indépendant de ma volonté. Mais ai-je seulement une volonté, ou ai-je le droit d'en avoir une ?
Firan estima que je méritais une punition pour cette absence prolongée. Je l'estimais aussi. Je l'attendais en fait secrètement, car elle allait me permettre de me laver de ce mal aise du à cette absence. Il m'attacha au nouveau lit, et sans même me déshabiller, introduisit sa longue queue entre mes fesses. Une sodomie brutale, sans préparation, destinée à reprendre possession de ce qui lui appartient, mes orifices, et plus particulièrement celui qui est le plus intime.
Puis il me détacha, et me donna une fessée réduisant ma fierté et mon insolence à celle d'une petite fille inconsciente des torts dont elle était responsables.
Ensuite il m'ordonna de lui laver avec la langue la queue souillée dans mon anus. Etait-ce bien une punition ? L'humiliation et la douleur sur mes fesses métamorphosait ce moment en un plaisir que j'avais presque oublié. Le joie de goûter à nouveau son membre, et les effluves qui s'en dégageait commençait à me rendre folle.
La volupté m'envahissait et j'allais succomber lorsque Lara arriva. Frustrée par cette rupture de circonstance, je n'en étais pas moins heureuse de la revoir. Elle apparut merveilleuse dans son teint pâle et ses grand yeux en amande. Firan lui a bien trouvé son surnom de poupée de porcelaine, le visage fier et impassible. On dirait une impératrice d'orient qui même dominée conserve sa noblesse.
Comme cela était rare que nous puissions être ensemble, Firan souhaita faire une séance photo a nous trois.
En voici quelques unes.
