"Notre mère qui êtes au pieu...."

En temps que Mrs Hyde de ma soeur Suri, vous pouvez compter sur moi pour explorer les recoin les plus sombres de la perversion humaine. Enfin, il y a tout de même des limites. Ici certains penseront que je les dépasse allègremement.



Mmmmmmh, c'est délicieux d'imaginer ces callotins sentant les symboles profanés. Je me demande s'il avait été moi à la place de Jesus, ou en serait la religion catholique actuelle ?

On pourrait commencer la prière par "Notre mère qui êtes au pieu, que ta volonté soit "fête", donne nous aujourd'hui notre bain quotidien, délivre nous du mâle


Ce club ou Firan m'a entraîné récemment est bien évidemment un endroit ou j'aime traîner et m'exhiber. J'en arriverais même à sentir l'odeur du latex imbibé de transpiration lorsque je passe un peu de temps dans cet endroit. Il est vrai que c'est un endroit ou l'on parle exclusivement français, et je m'y sens un peu chez moi. Bien vite, mon ma^tre me rappelle a l'ordre. Il est question de faire un peu de shopping, car Firan souhaite m'habiller en Soubrette.
C'est un fantasme qui lui tient à coeur apparemment, et je n'ai pas l'intention de m'y soustraire.

Nous visitons quelques magasins, bien que le modèle initial qu'il avait choisi pour moi semble de loin le plus beau et de la meilleure qualité possible. Il y a malheureusement beaucoup de Lag ce soir (plus de 54.000 personnes sur le Grid - un record en progression constante). Je plante régulièrement ce qui n'est vraiment pas agréable. Nous effectuons l'achat, mais....une fois payé, impossible d'obtenir le produit. J'ai introduit une plainte au commerçant, mais je suis toujours sans nouvelles. Ce n'est hélas pas la première fois que cela arrive lors de mon shopping. J'espère arriver à mes fins et pouvoir très vite satidfaire mon maître qui brule d'impatience de me prendre mon petit derrière de soumise dans sa tenue fétiche préférée.

Piano "à queue"

Je n'ai pas eu beaucoup de temps hier soir pour me changer en arrivant à la maison.

Mon maître m'ordonna immédiatement de mettre ma combi en latex car nous allions sortir. Ma combinaison latex rose délicieusement insolente, avec des fermetures éclairs aux seins et à l'entrejambe semblait retenir son attention, adjoint de ma chaine de seins, de mes plugs gonflables dans mon anus et mon petit abricot, ainsi que mon gag piercing.


Mon maître nous téléporta immédiatement dans un nouvel endroit que je ne connaissais pas et apparemment fréquentés par des français.




J'en déduis finalement qu'il est impossible de tout connaître de SL. Chaque jour je fais des découvertes, ... ou constate des disparitions, surtout en ce qui concerne les donjons BDSM. Ici la surprise est agréable car à l'inverse d'un donjon traditionnel, sombre et lugubre, c'est une piece large bien éclairée et avec des photos au murs un peu moins traditionnelles que d'habitude. Souvent il s'agit de BDSM pur, ou alors de porno hard. La déco semble avoir été géré par une femme ici, ce qui n'est pas pour me déplaire bien sûr.
Alors que certaines photos retiennent mon attention, mon maître va s'asseoir confortablement dans un sofa, et m'ordonne "d'aller dire bonjour".



Je m'exécute bien évidemment, bien que toujours sujette à une appréhension quand je suis seule et vétue avec autant d'indécence. en présence de mon maître, il agit comme élément protecteur. Je me sens nue mais protégée par lui. Seule, ouverte au regard de tous, je me sens très vulnérable. Si la honte devais se voir sur mon avatar, je serais rouge pivoine dans pareille circonstance.

Mais je dois reconnaître que cela m'excite aussi énormément de m'exhiber de la sorte. J'en viens même à regretter que des réactions négatives (rires, insultes, commentaires voire dégout...) soient si rare à mon encontre. Plus de violence verbale ne seraient pas pour me déplaire en fait. Oserais je dire que les gens sur SL sont trop tolérants ? Ce serait un comble non ? moi qui milite pour la liberté et la tolérance sur SL, me voilà prise à mon propre jeu par mes pulsions et mes fantasmes......

Comme les maitres ou maitresses avec leurs soumis(es) étaient en séances, il ne répondaient pas à mes salutations, dès lors je me dirigeai vers un garçon seul dont j'appris bientôt qu'il était parisien comme moi.



Nous échangeames quelques bribes de conversations, mais mon maître me rappela à l'ordre en m'entraînant dans les étages supérieurs. Après queques couloirs sombres et un escalier en colimaçon, une grande porte en bois dévoile une pièce toute aussi lumineuse que le hall principal en bas. Décoré de la même manière, il y a en outre un piano à queue qui retient mon attention. Les mauvaises langues diront d'ailleurs que tout ce qui est "à queue" retient toujours mon attention hihihi ^_^


Je grimpai assez vite sur la queue du piano, ce qui bien vite donna des idée à mon maître qui voulait à son tour se prendre pour le piano.

Il sortit son membre encore mou et me demanda de m'occuper de lui. Déjà je salivais à l'idée d'une bonne décharge de sperme en bouche, nectar divin et objet de toutes mes convoitises. Je pompai donc le membre chéri de mon maître qui se raidissais un peu plus à chaque coup de langue sur le gland, alors que mes mains s'affairaient autour de ses testicules bien lourdes.

Le piano semblait nous stimuler tous les deux, et pas seulement pour faire nos gammes. Il me prit ensuite dans plusieurs positions sur le piano, voulant jouir pleinement des tous mes petits trous qui lui appartiennent. Il termina dans ma bouche selon mes souhaits et les siens.