Yukisu DeCuir Sexploratrice sur Second Life: 09/01/2007

Malgré ma tristesse de voir mon monde favori partir en lambeau, ma libido reste intacte et j'ai envie plus que jamais de réaliser mes fantasmes sur SL. Ça durera ce que ça durera, mais en cas d'interruption brusque, vous êtes au moins prévenu.

Je retrouvai mon maître pour lui faire part de ce que j'avais appris à propos des nouvelles mesures sur SL. Il est clair que nous allons pâtir de ces mesures d'ici peu et devoir nous y contraindre sous peine de voir notre terrain réduit à quelques mètres carrés du Sahara.

En moi reste un espoir de rébellion de tous les avatars sur SL, ceux qui comme le disait Linden encore récemment, sont les vrais propriétaires de SL. Pêut être aussi qu'une plate forme parallèle crée par une entreprise moins soucieuse de se conformer à la législation américaine, va apparaître et combler nos besoins... qui sait ?

Mon maître me pris dans ses bras, et me demanda de ne pas trop penser à cela pour le moment.

Il m'ordonna de me changer et d'enfiler mon harnais de soumission, et rien d'autre, sauf le plug avec le grelot dans mon anus. Je m'exécutai à même la plage.

Une fois rentré dans notre donjon, j'aperçus Lara écartelée dans un coin de la pièce, la croupe offerte. Son corps tendu ainsi exhibé me faisait envie. Nous n'avions pas eu l'occasion de nous rencontrer souvent depuis notre première rencontre, ni même nous caresser vraiment. La voir là devant moi réveillait des envies que je n'avais pu assouvir lors de notre première rencontre.

Mon maître n'est jamais bien loin de mes vrais aspirations, et compris très vite dans mon regard que je désirais Lara. Aussi, il m'ordonna de m'agenouiller devant elle et de lui lécher la chatte. Lara avait sans doute reçu l'ordre de ne pas parler, car à aucun moment elle ne m'adressa la parole. Je pouvais seulement lire dans son regard le désir et la satisfaction de me voir goûter son délicat jus d'amour qui coulait dans ma bouche, ainsi que sa bouche qui s'entrouvrait quand ma langue venait effleurer son petit bouton de rose. Mon maître se tenait à côté de nous et s'assurait que je remplissait bien mon office. Il me demanda de bien la préparer, la chatte et l'anus, car il aurait l'intention de s'en servir à sa guise par après. Quel délice que cette mission dont ma langue et mes doigts avaient la responsabilité. Les jambes attachées, Lara se laissait aller et ma bouche se remplissait sans fin de ses arômes intimes.

Cela donnait des chaleurs à mon maître qui finit par tomber la veste.

Qu'elle est belle et délicate cette petite fente que je titille du bout de la langue.

Mon plug bien au fond de mon anus je contractais mes fesses en balançant mes reins ce qui me permettait de sentir sa pression dans le fond de mon vagin. Cette sensation excitante me faisait également dégouliner , et la cyprine coulait le long de mes cuisses. Mon maître ne tarda pas à le remarquer.

Il sortit sa queue encore molle de son pantalon, car il sait que j'adore ça, mais je n'eut pas le temps de la prendre en bouche tant elle se mit à gonfler rapidement.

Certes j'avais prouvé que je pouvais m'occuper d'une chatte, mais il allait falloir que je prouve également que je pouvais m'occuper de sa bite également. Le cadeau qu'il m'avait faite de m'offrir Lara, n'était donc pas désintéressé.

Je pris son gros mandrin à pleine main. Mon dieu qu'elle était grosse , mais si belle, si désirable. J'espérais avoir une plus grande bouche pour pouvoir l'engloutir en entier. Ma main caressait ses testicules , les soupesant , si prometteuses du jus onctueux qui récompenserait mes caresses ce soir. Je suis son vide couille, et c'est donc un privilège que je m'attribue de servir de réservoir à sperme de mon maître. Guetter le moment de sa jouissance afin de ne perdre aucune goûte quelque soit mon orifice dans lequel il décide de se vider.

Firan m'emmena sur le "cheval de bois" après avoir pris soin d'y fixer un gode bien large. Il m'ordonna d'enlever mon plug anal et de m'y installer. Il voulait également m'observer en train de me caresser les seins. Le gode me remplit toute entière. L'impression d'être empalée par ce pieu de latex qui venait trouver très exactement sa place au milieu de mes reins, m'obligeant à me cabrer en sortant les fesse de manière indécente et excitante à la fois

Naturellement, mes mains parcouraient mon corps, passant des mes tétons à ma petite fente bien huilée à présent grâce à la présence de de ce gode immense. Firan tournait autour de moi pour voir mon corps sous tous les angles. Le voulais prendre sa queue en bouche, mais il s'éloignait à chaque vois de moi, laissant ce désir inassouvi grandir en moi. Il me rendait folle, et je me vengeait dès lors sur le gode en le faisant entrer et sortir intégralement de mon vagin. Chaque pénétration me faisait arracher un petit cri de plaisir. J'allais presque jouir seule la en me faisant baiser par ce bout de latex que je chevauchait.

C'en était trop pour Firan. Il ne m'avais pas donné l'autorisation de jouir seule. aussi il me retourna violemment sur le cheval de bois, en m'attachant les mains, et me pénétra par derrière à grand coup de reins, tout en me donnant la fessée. La douleur de ses pénétrations brutales et des fessées, se substitua bientôt en plaisir et en satisfaction. J'allais avoir ma récompense....

firan déchargea tout son foutre entre de mes reins, inondant mon vagin par ondes successives.

Sa voix rauque résonnait sur les murs de la pièce. Lara toujours attachée nous regardais du coin de la pièce.

Il sorti sa bite et vint me la présenter devant ma bouche pour que je la nettoie. C'est que mon maître aime bien avoir la bite propre après avoir fait l'amour.

Satisfait, il me permit d'aller me reposer au Salon. J'ignorait qu'il en avait installer un. Au premier étage se trouvait effectivement un grand sofa devant la baie vitré qui donnait sur le jardin, et plus particulièrement mo tree house. Je n'avais jamais vu ce dernier sous cet angle. Je me demandais finalement quel endroit je préférais: le tree house ou le donjon. Le choix étais difficile, voire impossible, car tous deux représentent les extrêmes de ma personnalité, entre lesquels j'évolue en permanence.

Mes pensées se perdaient sur tous les plaisirs que ce monde avait déja pu me procurer. Que de souvenirs de moments intenses, de découvertes, et de rencontres. Mon maître vint bientot me rejoindre et m'enlassa par derrière, et nous nous trouvames le sommeil très rapidement