Le bonbon rose

Alors que je continue de faire du shopping pour le renouvellement de ma garde robe, mon maître m'appela pour me demander de modifier mes attitudes.  Il a justement trouvé un nouveau ZHAO sur Ibranimations qui lui donne satisfaction.

A mon arrivée, Je suis heureuse de voir que Lara est avec lui.  La relation qui m'unit à Lara est un peu trouble, et cela n'en réduit pas pour autant le plaisir de la rencontrer.  Elle est un peu comme une soeur pour moi, mais aussi une rivale, et une amante magnifique.  A l'image du chat, et loin d'être soumise, elle domine par son calme, sa froideur apparente tout ce qui l'entoure.  et mon maître n'échappe pas à cette règle.  Qui domine l'autre finalement, au delà de l'apparence des costumes et des us et coutume BDSM.  Qu'est le maître sans sa (ses) soumises ?   

Me voici donc avec ma nouvelle attitude, incapable de tenir en place, remettant de temps à autre ma chaussure en place, bref tout le contraire de Lara impassible et imperturbable.

Je n'ai toujours pas fini avec ma peau.  Nous nous rendons chez SIN SKINS.  Il y a quelques modèles de peaux qui me plaisent là bas.

... et pour cause... là ou passe ma soeurette, je ne suis jamais bien loin: le modèle Sakura est celui qui sert à Suraya depuis quelques mois.

Mais moi je préfère ROSE.  Alors que ma soeur met l'accent sur son côté asiatique moi je me m'applique à m'ancrer dans mon demi sang européen.  Cette peau me va assez bien.  J'enfile bien vite un latex pour voir si elle convient avec tout, et juger des finitions sur mes points de plaisirs...

Effet garanti chez mon maître qui m'ordonne de rentrer immédiatement à la maison.  Je sens que ça va être la fête à mon petit bonbon rose....

et sans me tromper, à mon arrivée, mon maître a déjà dégainé sa superbe queue, qu'il enfourne immédiatement à sa place, bien calée au fond de ma gorge.




Je m'applique et suce sur toute sa longueur ce membre qui me fait défaut, objet de toutes mes convoitises.

Les reins cambrés, la moiteur s'installe au creux de mes cuisses, préparant l'accueil du visiteur soldat qui va prendre bientôt possession du lieu.

Sans grand ménagement, Firan me retourne et m'empale sur le pieu luisant de ma salive.


Humide, lubrifiée à chaque endroit ou il s'introduit, je me sens toute entière comme une un petit bonbon rose que l'on roule sur la langue avant de le laisser glisser au fond la gorge

Et l'orgasme vint, le salut qui libère les corps de leur emprise mutuelle, écartelés à grands coups de spasmes, d'éjaculation et de cris.