Mon maître ne pouvais s'empecher de mettre sa main sur mes fesses, et je sentais ses doigts tenter de s'inserer petit à petit pour venir cerresser ma vulve qui s'humidifiait doucement. Je voulais profiter d'avantage de ce moment caresse, mais lui ne pu tenir très longtemps et m'obligea à m'agenouiller pour sucer son membre turgescent. J'avais oublié combien la bite de mon maître est belle et mérite d'être vénérée.
Après je dût enlever ma jupe, et il me prit la au milieu de ce magasin en quelques poses et quelques coup de reins dans ma chatte écartelée.
Je n'eut pas le temps de jouir, même si ce fut délicieux. Du reste la jouissance que le maître daigne m'accorder est un privilège, et non un dû.
Ce hamac aussi fera bientôt partie des meubles
Puis ce fut le retour à la maison ou je pu m'atteler à la mise en place de mon jardin suspendu.