Elle découvre de chouettes endroits, mais je n'apprécie pas beaucoup ses photos de voyages un peu trop sage ou elle montre sa frimousse, mais seulement elle. Alors j'y retourne moi de ce pas, pour vous faire partager ma série de photos de voyage à moi. Pour a... mateur averti
Je dois vous dire que ces photos m'ont coûté cher car je me suis fâchée avec la proprio du Sim qui apparemment n'a ni le sens de l'humour, ni celui de la mesure. Je ne ferai donc pas sa pub à cette pétasse. Elle m'a exclue de la zone. Cela n'empêche que je reviens avec une série de photos que je vous fais partager.
L'arrivée par la rame de métro bien crade. Je me déshabille. Dans un premier temps j'ai un peu de répulsion à sentir sous mes pieds un ensemble de matières diverses, chewing gums, crachats, et poussières diverses. Je garde mon harnais, dernier rempart m'empêchant de me sentir vraiment nue dans cet endroit que j'ose à peine toucher. Une fois nue c'est comme un digue qui semble se rompre en moi.
Je souhaite tout à coup la fusion avec cet endroit sordide. Nue, je suis là, je dois me donner à lui, ne faire plus qu'un offrir mon corps à cet endroit putride, peut être dans un vain espoir de l'assainir, ... ou de toucher le fond un peu plus bas encore. Oui, le fond, c'est sans doute bien de cela qu'il s'agit. savoir jusqu'où je descendrai pour pouvoir mieux évaluer le contraste de la profondeur. Je mouille, un torrent de désir et de fantasmes m'envahit peut être quelques hommes arriveraient la maintenant, et après m'avoir insultée, salope que je suis nue et sans pudeur dans ce lieu immonde, il décideraient sans doute à me mélanger au décor, en me violant la sur la banquette puante, ou peut être par terre, les fesses en l'air et la figure écrasée sur le sol dans ces matières fétides. a moins que ce soit une bite sale dans la bouche que je sois contrainte de laver soigneusement avec ma langue que l'on dit experte. Je mouille. Pourquoi ne viennent il pas, je suis à prendre, ouverte il feront de moi ce qu'il veulent. Je ne me débattrai même pas lorsque la bite de celui là trop grosse, éclatera sans ménagement mon anus si petit, si mignon que je réservais à un calibre plus modeste. Mon petit trou anal irrémédiablement détruit, défloré par une bite dont je ne connais même pas le goût.... du moins pas encore. Cet autre qui en me maintenant dans la tête contre son membre qui pointe derrière son caleçon sale manque de m'étouffer, de m'étourdir par ces effluves nauséeuse. tien il y en a un qui ne peux plus tenir sa bière et se met à vomir dans un coin de la banquette. Un coin , un marre qui se forme au sol. Les coup de butoirs que l'on m'assène me font peu a peu avancer vers elle. Déjà une main est imprégnée de ce jus d'entrailles. Je vais tourner de l'oeil. Non, je dois résister, je dois tenter de jouir de cette situation car elle est unique, mais elle demeure si intense en ressentis de tout ordre qu'elle mérite que je jouisse grâce à elle. Je sors de la rame... toujours personne, je m'allonge alors dans le hall d'attente. Les mauvais garçons, ... voila bien une race qui manque sur SL. A l'heure ou bientôt le sexe aura ses règles sur SL que ne vient-on me prendre la comme je le veux... SL est trop sage, déjà, hélas. Je me dirige aux toilettes, c'est crade, mais je suis enivrée résolument par ces odeurs. Un petit pipi, un petit caca aussi pour désigner ce territoire comme le mien également. J'ai des désirs bestiaux, je me comporte comme tel. Pas de papier ? Qu'importe !
Les toilettes hommes doivent être plus sales encore... Je vais y aller voir. Ça m'excite, et puis si quelqu'un vient, cela lui donnera sans doute envie de se vider en moi, comme dans un urinoir, ou une cuvette. Je suis trempée
Je deviens folle.
Quand vais je toucher le fond ?
Voila, messieurs mon cul est à vous. A toi passant qui veut bien te vider, et honorer de ta semence un de mes trous avides. Et si tes couilles sont vides je me contenterai d'autre chose.
Je suis un garage à bite, mais tout dépôt en liquide ou en espèce sont les bienvenus
Un peu trop sage avec mes cheveux bleus, même avec mon gag piercing et ma chaîne reliant mes tétons... allez zhou, un peu plus diabolique, un peu moins sage. je ne résisterai pas.
Je veux une bite. Des bites. Ou sont elles ? Personne n'est tenté par l'un de mes petits trous chauds et moelleux ?
Non, décidément je n'intéresse personne. J'oubliais que c'est en se refusant que l'on attire l'homme, pas en s'offrant à lui. Qu'il extrait sa jouissance dans l'impression de nous avoir fait céder, que le femme est faible, et l'homme fort. Qu'il peut nous faire céder quand bon lui semble. Mais lorsqu'une femme s'offre à lui, elle le domine. Ici je suis la reine, et l'homme ne viendra pas... il a peur.
Me calmer, reprendre mes esprits
Ma fille une fois encore ce sont tes doigts qui s'occuperont de tes orifices et de ton petit bouton. A enfin quelqu'un ! Allez newbies, sort ta queue que je puisse m'occuper de toi
il me tourne autour. Je me déplace. Prend des poses suggestives, sans trop lui faire peur. C'est sensible ces petites bêtes là. Je lui laisse l'initiative de me parler. Fringuée comme je suis, si je lui parle il va s'enfuir pensant que je suis une pute et que j'en veut à son portefeuille, alors que je ne veux que sa queue et son jus de couilles. Il a bien du voir mon petit bouton rose turgescent et mes lèvres gonflées de désir, ma mouille qui suinte entre mes cuisses... Çà ne doit pas le laisser indifférent. Incroyable, ce mec se barre sans même m'avoir adressé la parole. Salaud..... tu es trop fort pour moi .
J'ai du toucher le fond. Il est temps pour moi de regagner la surface. Cet Escalator fera sans doute l'affaire. Renaître après ce moment passé dans ce cocon stérile bien que fécond.
Chouette une cabine téléphonique... je vais pouvoir téléphoner à .... personne. Décidément c'est un mauvais trip aujourd'hui... ou peut être que c'est ce que je cherche ici... un mauvais trip comme je n'en ai jamais en RL.
Plus loin un taxi abandonné. Belle métaphore de ce moment sur ce sim. Abandonné, comme moi en ce moment, alors que nous sommes tous deux en général des "véhicules" fort utilisés. On nous rentre dedans, pour un court instant, le temps d'un voyage, et tous les deux nous sommes payé payé en liquide pour notre tache. Normale que je m'apitoie sur ton sort et que je partage un moment en ta compagnie. Comme toi mes portes doivent être ouverte pour tout client qui se présenterait. Allez zhou, je vire ma culotte, et je mets mes petits trous à l'air libre.
Mon pauvre vieux tu n'a plus grand chose a offrir d'autre que ta vieille carcasse. Moi mes fruits sont bien mur, et je suis prête à être cueillie, mais l'arbre sur lequel je suis attaché semble trop grand pour ceux qui m'entourent. Mes seins, bien rond , et mes fesses, tu ne trouve pas quelles sont jolie mes fesses ? Si toi tu avais une bite, je me m'offrirais aussi à toi. Mais a quoi bon, puis qu'il a été décidé sans doute en haut lieu qu'aujourd'hui mes petits trous ne seraient pas comblés. Suis je un sainte ? Un ange gardien me confond il avec ma soeur ? Sans doute ... ou peut être que tout cela n'est destiné qu'à rester enfoui bien profondément dans ma boite à fantasmes, seul endroit ou cela a le droit d'exister. SL étant déjà trop réel pour le permettre. Déjà désincarnée dans ce cyber monde, il ne s'agirait pas que j'y perde également mon âme. Alors soit, je m'en remet à ma part humaine, et je rejette à nouveau au fond de moi mes fantasmes les plus pervers.
Quelque minutes de méditation sous un arbre me font me sentir redevenir femme, me reconnecte avec la nature, et la vie, l'odeur des feuilles, et le vent dans les branchage qui me carresse également les cheveux et le bout de mes seins. C'est délicat, délicieux, et pourtant tellement intense.
Je me leve et et je regargne la rue principale par une petite ruelle. Du monde, des gens arrivent. Mon dieu, mais je suis nue, les seins provoquant réaussé par mon soutien pigeonnant sans voile , pas de culotte. Un homme m'aborde, j'ai honte, je me retourne, et il ne peut voir que mon dos, mes petites fesses. Il m'adresse la parole en français, me demande si je suis fachée, et pourquoi je ne me retourne pas. J'affronte mes démons, je me retourne et je lui fait face. Il est troublé. Nous échangeons quelques mots. Il est belge. Quelle coincidence j''en rencontre de plus en plus sur SL. Prémonition de ma vie RL future dans un mois à Bruxelles ? Il me semblait que la Belgique était un petit pays. Pourtant statistiquement au gré de mes rencontre j'ai l'impression qu'il s'agit de la Chine.
Une femme le rejoint et bientot une mutante chat-humain, et un autre homme. Je suis toujours à 3/4 nue, mes petits trous à l'air, mais j'assume. Pourtant j'ai honte, et c'est délicieux en même temps. Côté discussion, je leur enseigne certaines bases de SL, les menus pizza, etc... à poil. J'impressionne, je domine la situation, mais en apparence seulement car au fond de moi le chateau de carte peut rompre à tout moment. Ils violent mon intimité SL en lisant mon Profil, découvrent que l'on mapelle "Vide Couille" ils en rigolent. Je me sens humiliées, et j'aime ca. On me demande ou se trouve ma ceinture de chasteté. Je profite de ce moment pour la mettre, et m'habiller un peu plus avec elle, tout en remplissant mes petits trous artificiellement certes, mais c'est mieux que rien. Et puis la tollière du Sim qui vient, et m'agresse. elle m'a remarquée déjà m'exhibant depuis un moment dans son Sim. ca lui déplait, et elle décide de m'éjecter. Dans la seconde qui suit, je flotte à 100 m au dessus sur Sim. Ca y est je me suis envoiyée en l'air, mais c'est pas le 7ème ciel.
Je voulais des photos crades, mettant en contraste la nudité et la saleté. Si le sim avait accepté les boules animées, j'aurais aimé lecher le sol dans les toilettes pour hommes, ou encore me masturber, la tête dans une cuvette de WC. Je vous choque ? ... alors j'ai atteint mon but.
A la prochaine fois peut être ? Et merci de me lire ^^