Nous nous sommes retrouvé dans un endroit que je ne connaissais pas. Une étrange femme nous a abordé très rapidement.
Elle nous a ensuite proposé de la suivre chez elle. Nous l'avons suivi au travers des bois, jusqu'à un plan d'eau couleur de sang, en face d'une église. 
Elle nous ouvrit un passage au travers de plan d'eau.... et nous découvrîmes caché dans les abîmes un temple dont elle était la gardienne.
L'endroit était assez magique, Et nous nous sentions honoré de la visite que la déesse des lieu avait daigné nous faire profiter. Pauvre créature sans doute souvent bien seule au fond de cet abîme. elle semblait très heureuse d'avoir un peu de compagnie. Toutefois elle me demanda de me changer car le rose lui faisait peur.
Elle nous proposa de nous montrer sa garde robe. Je m'attendais à peu près à tout sauf à ca: proposition d'orgie, transformation de notre hote en vampire ou que sais-je encore...mais pas un défilé de mode par 30 metres de fond. Bizarrement nous ne suffoquions pas par manque d'oxygène.... mais n'est elle pas déesse ? Ses goûts sont très loin de ce que j'achète en général, mais il faut reconnaître qu'elle portait à merveille certaines d'entre elles.
Nous primes congé de la déesse et remontâmes à la surface.
Après cette visite, mon maître me gratifia d'un tour des les boutiques , dont le but suprême est de me laisser choisir les jouets qui générerons ma douleur lors des punitions, ou des supplices.
Ainsi ma chaîne de sein qui me mutile les tétons avec les deux gros anneaux qui les transpercent, ou encore les différent gag que je me suis achetée pour souffrir plus encore lorsque je mérite mes punitions. Jusqu'à la ceinture de chasteté avec oeuf vibrant incorporé pour la chatte et l'anus.
Ou dernièrement ces godes gonflables à pompe pour mon petit abricot et mon anus qui me remplissent tellement à m'en faire pleurer tant ils dilatent mes chairs à l'intérieur lorsque quelques coup de pompes en trop les amènent au point de rupture.. Toutes ces tortures je les crains et je les désire. Le fait d'en parler simplement génère la moiteur de mon entrejambe. Lorsque le les porte, tout autre accessoire m'est insupportable, je dois être quasiment nue ou presque. Les deux poires se baladant entre mes cuisses aux regard de tous achèvent de m'humilier en public.
En rentrant à la maison, je m'empressai de lui laver avec ma langue les chaussures un peu salie
par la ballade.
La prochaine fois je me propose de vous faire découvrir ma garde robe ainsi que mes nouvelles coiffures, puisque cela semble être dans l'air du temps.... même chez les déesse dans leur temple au fond des lacs...
